Est il trop tard pour sauver la nature ?

Les problèmes de l’environnement semblent dépasser les connaissances et l’intelligence humaines. L’empreinte écologique des humains est démesurée. Nos actes sont incompatibles avec la santé de notre planète. Il n’est cependant pas trop tard pour sauver la planète et les êtres vivants qui y résident.

Comment pourrait-on sauver la nature ?

Lorsqu’on parle de destruction de la planète, la transition écologique et la transition énergétique sont parmi les solutions mises en avant par les différentes organismes et associations. La vie des espèces menacées fait également l’objet d’une étude particulière. Le dossier cnpn en fait partie. Il s’agit d’une demande de dérogation permettant d’éviter l’impact résiduel significatif persistant sur des espèces protégées, notamment s’il y a une risque de destruction d’individus et de l’habitat d’espèce. En effet, la possibilité de dérogation est délivrée par le Préfet. Ce dernier prend en compte l’avis du Conseil National de Protection de la Nature.

Demande de dérogation – les conditions à remplir

Si des espèces protégées sont présentes à proximité ou sous l’emprise d’un projet, et que ce dernier peut porter atteinte à ces espèces, la demande de dérogation doit être effectuée. Néanmoins, il faut essayer de chercher une meilleure solution pour réaliser le projet avant d’opter pour la demande de dérogation. Ensuite, il faut aussi s’assurer que cette dernière ne nuit pas au maintient des populations des espèces concernées. Si vous avez besoin d’une information complémentaire, rendez-vous sur le site du bureau d’études naturalistes Eco-Med.

Avant de déposer le dossier de demande de dérogation, il faut connaître les conditions à remplir. Le premier c’est l’absence de la solution alternative de moindre impact. Le second c’est la destruction répondant à une raison d’intérêt public majeur. La destruction présente un impact majeur sur la nature sociale et économique des victimes. La troisième et dernière condition, c’est que les opérations ne doivent pas porter atteinte à l’état de conservation de l’espèce concernée. Si les trois conditions sont réunies, le porteur de projet doit proposer des mesures compensatoires.